Points forts
Votre place pour la comédie musicale Mamma Mia 1 Place en catégorie 2 pour 29 euros au lieu de 59
À propos de ce deal
Lancé à Londres le 6 avril 1999, MAMMA MIA a déjà été vu par plus de 42 millions de spectateurs dans 35 pays. Chaque soir, près de 17 000 personnes dans le monde assistent au spectacle. Déjà joué dans 225 villes, MAMMA MIA est un véritable phénomène planétaire avec ses chansons et ses dialogues traduits en 10 langues. C’est au tour des Français d’avoir la chance de découvrir MAMMA MIA dans leur langue natale à Paris et en tournée dans toute la France 1 place catégorie 2 Votre place pour la comédie musicale Mamma Mia à 29 euros au lieu de 59 L’histoire un hommage aux mères, aux filles, aux vieux amis et à la famille recomposée MAMMA MIA raconte l’histoire de Donna, une mère célibataire qui habite une île grecque au charme paradisiaque. Pour célébrer le mariage de sa fille Sophie, qu’elle a élevée seule, Donna a invité Rosie et Tanya, ses deux plus proches amies avec qui elle formait jadis le trio “Donna et les Dynamos”. De son côté, Sophie a invité en secret les trois hommes qui partagèrent brièvement la vie de Donna vingt ans plus tôt. Parmi eux se trouve le père inconnu au bras duquel elle aimerait être conduite le jour de son mariage. En vingtquatre heures chaotiques, de nouvelles idylles vont fleurir et d’anciens amours vont renaître sur cette île propice à tous les rêves. Une pièce de théâtre musical originale Le projet de Judy Craymer, la productrice originale du spectacle, était de créer une véritable pièce avec un livret inédit. Porté par l’énergie des chansons de Benny Andersson et Björn Ulvaeus, MAMMA MIA raconte une histoire forte entre une mère et sa fille où alternent rires et émotions au rythme des embruns d’une île grecque paradisiaque. Vingtdeux chansons d’ABBA révèlent les intrigues de cette histoire d’amour, de famille et d’amitié. La musique et les paroles de MAMMA MIA sont signées de Benny Andersson et Björn Ulvaeus, le livret de Catherine Johnson et la mise en scène de Phyllida Lloyd, la chorégraphie d’Anthony Van Laast, le décor de Mark Thompson, les lumières de Howard Harrison, le son d’Andrew Bruce et Bobby Aitken et la direction musicale, la musique additionnelle et les arrangements de Martin Koch.